- EAN13
- 9791027900442
- Éditeur
- Éditions Anacharsis
- Date de publication
- 25/04/2014
- Collection
- Famagouste
- Langue
- français
- Langue d'origine
- catalan, valencien
- Fiches UNIMARC
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Papier - Anacharsis 25,00
Immense roman anonyme du Siècle d’Or de la langue catalane, Curial et Guelfe a
vu le jour, sans doute à Naples, au XVe siècle. Curial, jeune chevalier sans
fortune, est élevé en Italie à la cour du marquis de Montferrat. Guelfe, la
sœur du marquis, en tombe amoureuse et lui offre secrètement la richesse qui
lui manque pour se lancer dans la vie sur un grand pied. Mais leur amour va
s’empêtrer dans les pièges sournois tendus par la Jalousie, et Guelfe, prise à
la gorge, va conduire son amant à se risquer en d’innombrables aventures. Le
roman, placé sous le triple signe de l’amour, de la guerre et de la poésie,
mène Curial, au gré d’une Fortune capricieuse, de l’Europe à la Méditerranée,
de tournois en grandes batailles, jusqu’aux mondes oniriques où les dieux eux-
mêmes, Apollon, Junon,Vénus, ou Neptune, entrent en lice. Curial et Guelfe,
porté par une écriture chamarrée, avec une sorte de gourmandise de la vie
même, coloré par les contrastes bien soupesés entre fiction et réalité, mêle à
un rythme allègre la geste arthurienne, le roman courtois et les lumières de
la Renaissance italienne, au point que l’on pense parfois parcourir de
l’intérieur un tableau fleuri de Botticeli. Dante, Boccace, Ovide, Homère,
irradient encore de leur présence cette œuvre flamboyante, jusqu’à présent
ignorée en France.
vu le jour, sans doute à Naples, au XVe siècle. Curial, jeune chevalier sans
fortune, est élevé en Italie à la cour du marquis de Montferrat. Guelfe, la
sœur du marquis, en tombe amoureuse et lui offre secrètement la richesse qui
lui manque pour se lancer dans la vie sur un grand pied. Mais leur amour va
s’empêtrer dans les pièges sournois tendus par la Jalousie, et Guelfe, prise à
la gorge, va conduire son amant à se risquer en d’innombrables aventures. Le
roman, placé sous le triple signe de l’amour, de la guerre et de la poésie,
mène Curial, au gré d’une Fortune capricieuse, de l’Europe à la Méditerranée,
de tournois en grandes batailles, jusqu’aux mondes oniriques où les dieux eux-
mêmes, Apollon, Junon,Vénus, ou Neptune, entrent en lice. Curial et Guelfe,
porté par une écriture chamarrée, avec une sorte de gourmandise de la vie
même, coloré par les contrastes bien soupesés entre fiction et réalité, mêle à
un rythme allègre la geste arthurienne, le roman courtois et les lumières de
la Renaissance italienne, au point que l’on pense parfois parcourir de
l’intérieur un tableau fleuri de Botticeli. Dante, Boccace, Ovide, Homère,
irradient encore de leur présence cette œuvre flamboyante, jusqu’à présent
ignorée en France.
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