EAN13
9782897126568
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Roman/Récit
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Shuni

Prix littéraire des collégiens 2020

Mémoire d'encrier

Roman/Récit

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Naomi Fontaine frappe fort une fois de plus avec cette lettre-fleuve qui
déconstruit les préjugés qui collent à la peau des peuples autochtones, et
surtout, qui leur rend toute la dignité et l’amour qu’il leur revient. –
Marie-Lise Rousseau, « Littérature: découvrez les dix favoris de la rédaction
en 2019 », Le Métro Dans ce troisième roman, Naomi Fontaine témoigne du combat
quotidien d’être soi, au-delà des statistiques réductrices, au-delà des
préjugés tenaces. Dans des lettres adressées à Julie, une Québécoise venue
dans sa communauté pour aider les Innus, elle écrit la vérité, l’histoire d’un
peuple traversé par des traditions, des blessures et des idéaux. Page après
page, elle bâtit des ponts, abolit les barrières à grands coups de sagesse et
d’empathie. Une main tendue à une possible amitié, pour qui veut bien ouvrir
son esprit et son cœur. – Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, « L’année québécoise
en douze fictions choisies », Le Devoir Shuni, dont le sous-titre est Ce que
tu dois savoir, Julie, s’inscrit clairement dans la lignée de Tout ce qu’on ne
te dira pas, Mongo, de Dany Laferrière. Si Naomi Fontaine ne s’adresse pas à
un nouvel arrivant aspirant à recréer sa vie au Québec, elle n’en cherche pas
moins à créer des ponts. Elle ouvre un espace de dialogue essentiel entre
Julie et elle, femmes issues de deux peuples toujours en quête de repères pour
mieux se comprendre. Un espace inclusif permettant aux lectrices et lecteurs
d’apprendre et de se reconnaître.– Valérie Lessard, Ici Ottawa-Gatineau,
Radio-Canada L’avènement de cette relation nouvelle suppose évidemment pour
les Blancs un minimum d’écoute et de désir d’entrer en relation avec les Innus
— avec les peuples autochtones en général — autrement que par l’intermédiaire
d’un barrage de chiffres. Elle suppose un minimum de réelle ouverture du cœur,
ce à quoi en appelle Naomi Fontaine dans Shuni. – Dominic Tardif, Le Devoir Sa
Shuni comme son lecteur, Naomi Fontaine veut les guider. Leur dire que, bien
plus que ce « résilient » qui est souvent utilisé pour le qualifier, son
peuple est résistant. RÉSISTANT en majuscules à toutes les horreurs trop
souvent occultées de l’histoire. Elle souhaite ainsi leur parler des Innus,
les présenter, au-delà des statistiques. Au fil des pages, elle apprend au
lecteur à connaître les individus de Uashat. – Natalia Wysocka, La Presse Vous
avez l’impression de tenir entre vos mains un objet précieux et bien plus
encore. Un objet immuable qui vous marque dans votre chair et qui vous laisse
ce doux souvenir d’avoir fait une rencontre exquise. Shuni fait indéniablement
partie de ces récits qui vous tourneboulent aussitôt. – Esmeralda, Les miss
chocolatine bouquinent
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