- EAN13
- 9782846790048
- ISBN
- 978-2-84679-004-8
- Éditeur
- Ginkgo
- Date de publication
- 24/04/2002
- Collection
- Lettres d'ailleurs
- Dimensions
- 22 x 13 x 2 cm
- Poids
- 315 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Les condamnés à mort
Autres contributions de Claude Farrère, André Devambez
Ginkgo
Lettres d'ailleurs
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Le Gouverneur, roi du blé, règne sur un gigantesque complexe agro-industriel de six cent vingt-six usines. Homme froid et sans pitié, partisan des thèses du darwinisme social, il cherche à remplacer tous ses ouvriers par des « machines mains » nouvellement créées et qui assureront le travail à moindre coût.
Les Condamnés à mort, qui parut en 1920, est une véritable anticipation sociale, digne des meilleurs récits de Wells, une contre-utopie qui aborde les très sombres questions du devenir humain face à la mécanisation et à la toute puissance des lois économiques.
Claude FARRÈRE (1876-1957) démissionna de l’armée en 1919 pour se consacrer à sa seconde passion : les lettres. Il avait publié, dès avant la Première Guerre mondiale, plusieurs romans dont l’un, Les Civilisés, lui avait obtenu le prix Goncourt en 1905. Durant l’entre-deux-guerres, il poursuivit cette œuvre plus qu’abondante, puisant à la double source du réalisme et de ses souvenirs d’officier de marine en Extrême-Orient. Il fut élu à l’Académie française en 1935.
Les Condamnés à mort, qui parut en 1920, est une véritable anticipation sociale, digne des meilleurs récits de Wells, une contre-utopie qui aborde les très sombres questions du devenir humain face à la mécanisation et à la toute puissance des lois économiques.
Claude FARRÈRE (1876-1957) démissionna de l’armée en 1919 pour se consacrer à sa seconde passion : les lettres. Il avait publié, dès avant la Première Guerre mondiale, plusieurs romans dont l’un, Les Civilisés, lui avait obtenu le prix Goncourt en 1905. Durant l’entre-deux-guerres, il poursuivit cette œuvre plus qu’abondante, puisant à la double source du réalisme et de ses souvenirs d’officier de marine en Extrême-Orient. Il fut élu à l’Académie française en 1935.
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