- EAN13
- 9782844851710
- ISBN
- 978-2-84485-171-0
- Éditeur
- Éditions Allia
- Date de publication
- 2005
- Collection
- Petite collection
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 17 x 10 x 0,7 cm
- Poids
- 95 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 709.2
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
2005-01-01 - George Grosz : Suivi de Un mort est mort
De Günther Anders
Traduit par Catherine Wermester
Éditions Allia
Petite collection
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Début du vingtième siècle – la révolte des artistes
La révolte de Dada
“Un artiste qui s’entend si bien à reproduire son temps que sa propre image devient pour les époques suivantes celle du monde d’hier n’est pas seulement un élément intéressant de cette époque, mais précisément un fabricant d’histoire, un fabricant du présent même : un homme donc qui mérite d’être distingué comme une figure.”
On ne connaissait pas jusqu’à présent en France les réflexions esthétiques de Günther Anders. Dans ce domaine comme dans les autres, il se montre encore une fois hérétique. Son George Grosz, qui n’a rien d’un essai traditionnel d’historien de l’art, est sans conteste l’étude la plus pénétrante consacrée au peintre berlinois, célèbre pour la cruauté de ses dessins. Les historiens de l’art ont généralement méprisé le travail de Grosz à partir des années 30 et de son exil aux États-Unis. Anders dévoile au contraire la profonde unité de cette œuvre marquée par un pessimisme absolu et dont il montre de façon convaincante qu’elle est l’une des plus importantes du siècle. Mais ce texte bref va bien au delà : ce sont les questions les plus fondamentales de l’art moderne qui sont ici passées au crible de la réflexion iconoclaste d’Anders : celle de la figuration, de la force politique d’une œuvre, du rôle véritablement démiurgique du créateur.
Traduit de l'allemand par Catherine Wermester.
Illustrations de George Grosz.
La révolte de Dada
“Un artiste qui s’entend si bien à reproduire son temps que sa propre image devient pour les époques suivantes celle du monde d’hier n’est pas seulement un élément intéressant de cette époque, mais précisément un fabricant d’histoire, un fabricant du présent même : un homme donc qui mérite d’être distingué comme une figure.”
On ne connaissait pas jusqu’à présent en France les réflexions esthétiques de Günther Anders. Dans ce domaine comme dans les autres, il se montre encore une fois hérétique. Son George Grosz, qui n’a rien d’un essai traditionnel d’historien de l’art, est sans conteste l’étude la plus pénétrante consacrée au peintre berlinois, célèbre pour la cruauté de ses dessins. Les historiens de l’art ont généralement méprisé le travail de Grosz à partir des années 30 et de son exil aux États-Unis. Anders dévoile au contraire la profonde unité de cette œuvre marquée par un pessimisme absolu et dont il montre de façon convaincante qu’elle est l’une des plus importantes du siècle. Mais ce texte bref va bien au delà : ce sont les questions les plus fondamentales de l’art moderne qui sont ici passées au crible de la réflexion iconoclaste d’Anders : celle de la figuration, de la force politique d’une œuvre, du rôle véritablement démiurgique du créateur.
Traduit de l'allemand par Catherine Wermester.
Illustrations de George Grosz.
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